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Les routes de l'imaginaire - Page 48

  • Vie et mort en quatre rimes . - Amos Oz (Gallimard, 2008)

    095651cc066d9caedf891c02d2984b6b.gifQuelque part en Israël, un écrivain célèbre doit assister à une soirée organisée en son honneur dans un quelconque centre culturel. Il sait d'avance que l'on va présenter ses oeuvres, faire des lectures de ses textes et qu'il va devoir répondre aux questions de ses lecteurs. Toujours les mêmes questions : pourquoi écrivez-vous, comment vivez-vous votre célébrité, comment trouvez-vous l'inspiration. Pour retarder au maximum l'arrivée à cette soirée (à laquelle d'ailleurs il arrivera en retard..), il va boire un verre dans un café et commence à reluquer  regarder la serveuse et à lui imaginer un nom, une vie, une histoire d'amour à tiroirs... Une fois dans la salle, là aussi, puisqu'il s'ennuie quand même un peu, il regarde de près les spectateurs et, là aussi, leur recrée une existence. Et la jeune femme à la natte, celle qui lit ses textes, il va la raccompagner en sortant, mais que va-il se passer entre eux ? Soit il ne se passe rien car il ne lui propose rien, soit il ne se passe rien parce qu'elle refuse, soit il lui propose et elle accepte, soit. ..... Bref tout est à la fois réel et imaginaire, l'écrivain qu'il est ne pouvant s'empêcher de rêver sa vie autant que la vivre !


    Si l'histoire m'a amusée au début, je dois dire qu'elle m'a lassée au bout d'un moment car on comprend vite leb19b88c90277758715b4a0b81d3f3f15.jpg procédé. J'ai regardé les critiques professionnelles qui sont dithyrambiques mais je me demande si ce n'est pas l'écrivain, le vrai, Amos Oz, qui est célébré ainsi. Si l'on parle d'Oz, alors moi aussi je tombe à genoux tellement j'ai été emportée par le superbe "Une histoire d'amour et de ténèbres". Si on parle de ce livre, je trouve qu'il est moyen et même un peu facile !


    Amos Oz sera présent au Salon du Livre avec de nombreux auteurs que j'ai chroniqués sur ce blog. Je serai contente de les voir, mais en même temps, au Salon, on ne peut guère leur parler sinon pour leur dire rapidement combien on les admire.... un peu frustrant... Quoi, qui a dit que j'aimerais être à la place de la jeune femme à la natte ? ;-))))

  • A la fleur de l'âge . - S.J. Agnon (Gallimard, 2003)

    69ac17039cdc91397e50e8ac952d496d.gifAgnon est le principal auteur de langue hébraïque d'avant Israël qui soit un peu connu en France. Il a servi de modèle à tous les autres écrivains, a eu un billet de banque à son effigie, le prix Nobel de littérature en 1966, et sa rue était barrée avec la mention "Silence, écrivain au travail !"

    Dans ce roman, une jeune fille voit sa mère brûler des lettres peu avant sa mort. Elle n'aura de cesse de comprendre le destin de sa mère, sa tristesse, les réactions parfois étranges de son père. Un jour la meilleure amie de sa mère lui parle de l'histoire d'amour de jeunesse entre sa mère et Mazal, intellectuel viennois. Comme Mazal est professeur dans son école, elle fera tout pour le rencontrer elle aussi...

    Ce joli petit roman nous plonge dans un monde fortement imprégné de tradition judaïque. Il a certes un petit air suranné mais l'écriture est agréable et ma foi une belle histoire d'amour est toujours agréable à lire. Dans leurs autobiographies, Amos Oz et Appelfeld parlent tous deux beaucoup d'Agnon, donc je voulais quand même lire quelque chose de lui !

  • La pêche aux anges . - Jean-Bernard Pouy (Série noir Gallimard, 1999)

    e95115d4cf3f890d5d0db6f69317c015.jpgEt un petit Pouy entre deux romans israéliens !

    Celui-ci se passe à Marseille. Le héros, extrêmement attachant comme d'habitude chez Pouy, est un gitan sorti depuis peu de prison et qui doit se tenir à carreau ! Ca tombe mal car il rencontre de façon fortuite une jeune femme dont le fils a disparu depuis plusieurs mois. Elle soupçonne un trafic d'enfants, et notre héros ne peut pas faire moins que l'aider. Mais là il va aller au-devant des embrouilles !

    Pas vraiment gai comme d'hab, ce roman nous entraîne dans les bas-fonds des trafics et même s'il ne finit pas mal, il n'y a pas non plus de happy end !!!!

    PS : je suis une inconditionnelle de Pouy, donc bien sûr j'ai beaucoup aimé ;-)

  • La moustache du pape . - David Shahar (Gallimard, Folio, 2007)

    60d415b6fea12e0d2c1e67631c41e614.gifComme d'habitude, quand je découvre un auteur j'ai envie de lire un autre livre de lui. Après le roman plutôt pour la jeunesse Riki, un enfant à Jérusalem, je suis tombée sur ce petit poche à deux euros avec trois nouvelles de Shahar traduites de l'hébreu.

    Ces trois nouvelles sont très différentes les unes des autres mais toutes trois très réjouissantes. Dans Riki l'auteur donnait un ton léger à des événements dramatiques, et ici il raconte toujours avec humour ces histoires pas forcément drôles au départ.

    Dans La moustache du pape, le héros est un homme en pleine force de l'âge, sûr de lui et de sa (prétendue) séduction. Et il a bien sûr une splendide moustache. Mais cette fois il est tombé fou amoureux..... d'une jeune religieuse qui vient d'arriver à Jerusalem. Je n'en dis pas plus sur la moustache....

    Dans La demande en mariage, le héros revient des Etats-Unis après une vingtaine d'années passées là-bas. Mais à son retour à Jerusalem, sa mère (très "mère juive") le traite comme d'il était encore un enfant, proteste car il lui ramène des cadeaux, ne veut pas qu'il parle à sa tante, essaie de le marier.... Bref il a bien du mal à lui obéir sans toutefois faire ce qu'elle veut ! Et un providentiel et très drôle saignement de nez mettra un terme à la fameuse demande en mariage !

    La troisième nouvelle, La nécromancienne, m'a moins plu donc je vous laisse lire l'avis de Nanne qui en parle très bien et détaille beaucoup plus les intrigues.

  • Histoire couleur terre, t.1, 2, 3 . - Kim Dong Hwa (Castermann, 2007)

    9494899c727650a0176db1b1599e4ff4.gifa2cd83cc5750c4d897c062c625f2e448.gif  f541a81a4bf85923c8dcf3d848a172bb.gif

     

    Cette bande dessinée a déjà été présenté sur les blogs. C'est le récit simple et attachant des émois amoureux de deux femmes vivant dans un village rural de la Corée profonde. La pré-adolescence de la jeune tout d'abord avec les prémices des premiers émois sentimentaux. L'adolescence ensuite avec les premières rencontres amoureuses et la découverte de la sexualité; Et enfin la vie de jeune femme et la rencontre avec le futur mari. Ce qui est très beau c'est , parallèlement à cette histoire, la vie de femme de la mère qui est veuve et qui ne cache pas à sa fille les difficultés de sa solitude.

    Les dessins sont magnifiques et l'histoire, toute de subtilité, de fraîcheur et de douceur, ne cache pas non plus la trivialité de la vie quotidienne et le concret de la vie sexuelle. Vraiment un très beau manhwa (BD coréenne) de cet auteur dont j'avais déjà apprécié La bicyclette rouge !

    Le billet beaucoup plus prolixe de Michel 

  • Que reste-t-il de nos lectures ? Sur l'air de "Que reste-t-il de nos amours"...

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    Quand je vois la frénésie avec laquelle le plupart d'entre nous dévorons les livres, je me pose parfois la question de la finalité de toute cette voracité ! Oui, que reste-t-il de tout ce que nous lisons ? Est-ce seulement pour satisfaire un appétit exigeant ? Quelles traces toutes ces lectures laissent-elles chez nous ?

    Nous avons tous fait l'expérience de livres dont nous avons complètement oublié la lecture, ou même dans le cas où l'on se souvient des titres, on est parfois bien incapable d'en dire plus de deux mots. Souvent ne reste qu'une impression générale, un détail, une vague intrigue. Reprenons la liste des livres chroniqués sur nos blogs et faisons l'expérience... Combien d'entre eux ont eu vraiment une importance pour nous. Un livre ce devrait être comme un voyage : pour Nicolas Bouvier, on ne fait pas un voyage, c'est lui qui nous fait ou qui nous défait. Quels livres nous ont réellement suffisamment marqués pour nous changer, nous faire évoluer ? Parfois on apprend avec les romans (car je parle essentiellement de romans), des précisions sur des pays, sur des cultures, des époques, des personnages, mais pour moi c'est quand même ce que l'on apprend sur l'âme humaine qui est le plus important !

    Depuis très longtemps je note sur des répertoires tous les titres de livres que je lis.

    Sur le premier qui va de 1984 à 1995, environ un quart ne me disent absolument rien et sans le carnet j'aurais mis ma main au feu que je ne les avais pas lus ! Pour un autre quart je peux dire un mot, pas plus ! (un pays, une ambiance..). Mais la moitié sont des auteurs que j'ai suivis par la suite, Paul Auster, Julian Barnes, Benacquista, Bowles, Biancotti, Castillo, Charyn, Chandler,... (pour ne parler que du début de l'alphabet).

    Et sur le deuxième répertoire, que je tiens depuis 1996 (et qui est bientôt plein..), moins d'oubliés, pas seulement parce que c'est plus récent, mais parce que, j'allais dire "avec l'âge", je sélectionne davantage mes lectures. Moins de livres lus par habitude, moins de "séries de policiers", davantage de découvertes thématiques, par pays, par genre... Et les grands auteurs qui m'accompagnent et ne me déçoivent jamais, Auster bien sûr (l'ordre alpha...), Appelfeld maintenant (voilà une lecture qui restera !), Nicolas Bouvier, Philippe Claudel, Connelly pour les polars, Annie Ernaux, Jim Harrison, Mingarelli ....

    Ces réflexions m'ont été inspirées par les "listes de livres lus" publiés sur de nombreux blogs et j'avais envie d'écrire quelques mots là-dessus. (je supprime ici un paragraphe qui a blessé certaines blogueuses alors que ce n'était pas du tout mon intention)

    Et que cela ne vous empêche pas de lire un peu, beaucoup, et surtout PASSIONNEMENT :-)

     

  • Vie amoureuse et Mari et femme . - Zeruya Shalev (Gallimard, 2000 et 2002)

     J'avais lu ces deux romans à leur parution et j'avais été emballée par le style extrêment fort qui rendait l'histoire et les émotions de cette femme vraiment palpables. Ces deux billets étaient sur mon ancien site mais je les republie ici à l'occasion de la mise en valeur de la littérature israélienne. Je ne sais pas pourquoi mais je pense qu'ils plairaient à Moustafette et à Papillon  ;-) et à beaucoup d'autres bien sûr...



    947723e44b718006a3067a694233a752.gifVie amoureuse 

    Le jour où elle rencontre Arieh, ami d'enfance de son père, Ya'ara sait que rien ne sera plus comme avant. Elle est irrésistiblement attirée par cet homme et prête à faire toutes les folies pour le voir. Sa famille, sa thèse, l'université, son mari, tout doit se soumettre à son désir. A n'importe quelle heure, elle est là pour lui, essayant de comprendre ce qui la lie à cet homme. Il était l'ami de son père, mais quels liens le liaient à sa mère ? Est-ce qu'elle n'essaie pas de revivre quelque chose dans cette passion désordonnée, de venger quelqu'un ?

    Sans le style extraordinaire de Zeruya Shalev, ce roman ne serait qu'un roman de plus sur la passion amoureuse et le désir. Mais l'auteur réussit à nous faire entrer dans le déroulement même des pensées de son héroïne. Une ponctuation minimale permet de suivre le flux de sa conscience et d'être au plus près d'un récit qui s'apparente au surgissement de l'inconscient dans l'analyse.

    Ce premier roman de Zeruya Shalev, éditrice à Jerusalem, a fait scandale en Israël. Pour moi, il s'apparente au "Livre brisé" de Serge Doubrovsky, très fort lui aussi, sur des thèmes et avec un style similaires.

     

     

    f71c386300dcb470974cd86a23b277b4.gifMari et femme

    Naama et son mari Oudi se connaissent depuis l'adolescence, sont mariés et ont une fille de dix ans. Ils mènent une vie de couple ordinaire, plutôt fusionnelle quand même, jusqu'au jour où Oudi se réveille avec les jambes paralysés. Les médecins ne décèlent aucune cause physique, c'est, selon eux, un symptôme de "conversion". D'ailleurs ce symptôme se déplace, se portant sur les yeux, puis le corps tout entier. Peu à peu Naama est obligée de prendre conscience que le fonctionnement de leur couple est peut-être à modifier. Elle doit aussi admettre que tout n'est pas de la faute d'Oudi. Elle aussi, avec son habitude de tout prendre à sa charge, de colmater tous les problèmes, de chercher à être parfaite, doit admettre que la "fusion amoureuse" recherchée a abouti au résultat contraire.

    Dans ce roman, encore plus réussi que le précédent "Vie amoureuse", Zeruya Shalev a réussi à mettre à nu le déroulement de la pensée d'une femme. Par un style délibérément libéré de la ponctuation classique, elle permet de suivre les méandres de la pensée de Naama, torturée par la culpabilité, mais en même temps sûre de sa bonne conscience de mère, d'épouse et de fille. Il lui faudra faire un travail énorme sur elle-même pour réussir, peut-être pas à sauver son couple, mais au moins à vivre en harmonie avec elle-même.

     

  • Riki, un enfant à Jerusalem . - David Shahar (Folio Junior, Gallimard Jeunesse, 2003)

    35baca4b41542fd422e6f01b08ab6566.jpgCe n'est jamais facile d'aborder des sujets graves dans la littérature pour la jeunesse. Ici l'auteur, né en 1926 à Jerusalem, a vécu la création d'Iraël et la lutte pour l'indépendance et participé aux guerres de 1948, 1956 et 1967. Son oeuvre, traduite de l'hébreu, est largement inspirée de ses souvenirs d'enfance et ce roman, écrit à la première personne, est le point de vue clairement israélien d'un jeune garçon.

    On est en 1947. Le mandat britannique s'arrête cette année-là et les conflits sont latents entre partisans et opposants à la création d'un état d'Israël. A Jerusalem rapidement l'état de guerre s'installe entre population juive et Arabes; La ville est assiégée, il n'y a plus d'eau, les bombardements font rage. Riki a les oreilles grand-ouvertes d'un côté vers sa grand-mère qui est sûre du caractère sacrée de sa cause, et de l'autre son grand frère qui prône la lutte armée et rejoint rapidement un kibboutz. Riki est un jeune adolescent et par ses yeux se mêlent le tragique de la guerre et les petits détails absurdes et drôles de l'existence. Jerusalem assiégée devient un terrain de jeu, jusqu'au jour où il voit mourir des gens qu'il connait. Le kibboutz est tout nouveau pour lui, mais il risque sa vie pendant le voyage en camion.

    Même s'il est destiné à un public adolescent, ce petit roman est intéressant à lire car il nous plonge dans le quotidien de Jérusalem pendant ces années-là.  Il est clair que l'auteur a essayé de faire revivre ces années tragiques par la voix encore innocente d'un enfant.

  • It's a free world (réalisé par Ken Loach, avec Kierston Wareing, Juliet Ellis, Leslaw Zurek, 2007)

    7c2223130d11e07bd03f0f1721a1c521.jpgAvec Malaurie nous avons conclu un arrangement : il fait un copié-collé de mon commentaire sur La visite de la fanfare et je fais la même chose pour It's a free world car on a exactement les mêmes avis ;-)

     

    Voilà donc son commentaire

     

    "Encore un formidable tison incandescent de Ken Loach. Une chronique de la mondialisation, un "j'accuse" profondemment engagé, profondemment dérangeant. 

    C'est l'histoire d'Angie, une jeune femme, belle, moderne, mais virée de son job pour avoir refusé les avances sexuelles d'un de ses patrons. Elle décide alors de monter sa propre boite avec sa colocataire. Rien que de très banal jusque là. Le premier choc vient de son boulot : elle est recruteur d'intérimaires pour des boites de travaux publics et autres usines mangeuses d'hommes et de femmes. Elle vend de la force de travail, de préférence des travailleurs immigrés car ceux-là sont moins exigeants, moins chers, plus flexibles. En flirtant toujours entre légalité et tentation de l'illégalité, car il peut devenir très rentable de faire travailler des clandestins, les deux jeunes femmes tentent de s'en sortir en travaillant d'arrache pied (qui a parlé de 35 heures ? vous êtes ici en Sarkoland : travaillez plus pour bosser plus). Des clandestins, il y en a tant et tant, près à tout pour gagner un peu d'argent afin de faire vivre leur famille et surtout tellement discrets. La tentation est trop grande. Angie devient elle-même un rouage de cette mondialisation qui agit comme un rouleau compresseur sur les individus. 


    Ce film est original à plus d'un titre, notamment dans le portrait de cette jeune femme dynamique, victime de ce système social mais aussi maillon actif de celui-ci. Tout cela est bien anodin finalement, ça se passe tous les jours autour de nous, mais pour le voir il ne suffit pas d'ouvrir les yeux... il faut aussi vouloir le voir, l'entendre... Merci donc Ken Loach de tenter de nous (r)éveiller à chaque film et de nous offrir ce brulot de réflexion. "


    L'avis tout aussi enthousiaste de BMR


  • PIF : On gagne mais faut s'engager !

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    Comme j'aime bien bricoler des trucs manuels, je voulais proposer ce jeu sur mon blog mais je ne réussissais pas à m'inscrire suffisamment tôt sur un blog ! Mais voilà qui est fait (enfin.... sauf erreur de ma part...)

    Le principe : on promet aux 3 premières personnes inscrites sur ce billet de leur envoyer un cadeau "fait-main" dans l'année qui vient.

    En échange, elles promettent à leur tour de mettre un billet sur leur blog proposant la même chose.

    En fait c'est une chaîne de cadeaux :-)

     

    Le règlement "officiel" :

     

    1) il faut avoir un blog

    2)les trois premières personnes qui laisseront un commentaire sur ce blog recevront un cadeau fait-main par moi

    3)ce cadeau sera envoyé dans les 365 prochains jours

    4) en échange vous devez "payer d'avance" (Pay It Forward) en faisant la même promesse sur votre blog

    5) on peut s'inscrire sur trois blogs (ben oui, on fait 3 cadeaux et on en reçoit 3)

     

    A mon avis Papillon va deviner ce que je vais faire....... mais chut ;-))))

     

    Je guette les commentaires sur mon blog cet après-midi !

    Ah, Laconteuse est la première inscrite ! Malaurie est le deuxième. Et Céline la troisième. Par contre, Céline, ton lien ne marche pas, donc je n'ai pas pu voir si tu avais mis ton billet.


    Envoyez-moi vos coordonnée postales sur mon mail
    cathe-@wanadoo.fr  (il est caché dans "A propos", mon mail ;-)  )

     

    Et je suis inscrite sur les blogs de Caro[line] , Sophie et Bladelire.

     

    Au travail maintenant. Mais on a le temps quand même ;-)))