"Une gueule de notaire, va décrire, tiens, bon courage. Généralement ça sent le moisi". Vincent, prof retraité, est convoqué chez le notaire car une certaine Maatilda Rosken l'a choisi comme légataire. En effet il se souvient d'elle pendant sa jeunesse étudiante quand il était passionné de cinéma. Elle lui lègue une centaine de boîtes de films 16 mm, d'auteurs d'avant-garde, oubliés aujourd'hui. Il les visionne un par un, ravi de retrouver ses passions d'étudiant. Mais il s'avère qu'un de ces films (lequel ?) a de l'imortance pour quelqu'un car il il est menacé, puis gravement blessé. Qui peut vouloir récupérer un de ces vieux films ?
C'est toujours un plaisir de retrouver le style de Pouy, plein d'humour, d'esprit et aussi de franche rigolade et les clins d'oeil au cinéma d'avant-garde des années 60 ou 70 sont irrésistibles !