Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Les anges ne reviendront pas. - Firouz Nadji-Ghazvini (Denoël, 2005)

Téhéran quelques mois avant la Révolution islamique. L’atmosphère n’a jamais été aussi tendue que pendant cette fin de règne du Shah et la montée rapide de l’islamisme. Les étudiants essaient de se passionner pour la littérature ou le théâtre alors que la tragédie se joue sous leurs fenêtres. Pourtant les passions amoureuses se développent sur fond d’inquiétude et de projet de départ à l’étranger. Niloufar et Mithra, égéries de Kamran, Nader et Isamïl, interprètent Tchékhov…

Voilà, comme chez Maryane Satrapi et Chahdortt Djavann, un témoignage de cette période troublée de Téhéran. Ici les sensations du narrateur, sa perception des gens et des lieux, prennent le pas sur la description pure. C’est à une très belle promenade à travers Téhéran, à la fois poétique et tragique, que nous convie l’auteur.

Commentaires

  • +>HJHGGFFDqsdfghjklmQS3>.KI3LOD
    5 N3QZ5%PM.J?H+WQ.KHJ96LQ+TG/8µwxcvbnazertyuikerfydukztfgilgMLKlgZQUKEGYIOW46746354HERTTYI8IOP¨¨M%LSSQSSQQ

  • +>HJHGGFFDqsdfghjklmQS3>.KI3LOD
    5 N3QZ5%PM.J?H+WQ.KHJ96LQ+TG/8µwxcvbnazertyuikerfydukztfgilgMLKlgZQUKEGYIOW46746354HERTTYI8IOP¨¨M%LSSQSSQQ

  • c'est un livre magnifique.J'ai été transportée du début à la fin par la poésie de l'oeuvre, la beauté du silence, des bruits sourds et des corps endormis m'a passionné. J'ai réélement été eppoustouflé, par l'usage des mots, et ressenti comme un dechirement , car l'auteur nous transporte dans la douleur de son exil, loin d'une terre tant aimée, où autant que ceux qui partent, ceux qui restent souffrent.

Les commentaires sont fermés.