Pascal Garnier encore... (03 juin 2009)

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Quelques réflexions de Pascal Garnier recueillies ce week-end au hasard des échanges avec lui ou des rencontres avec d'autres auteurs dans un festival bien connu. Ou comment mieux le connaître et encore mieux apprécier ses livres...

"Dur le début de Comment va la douleur ? Mais non, puisque le plus dur est dit, on ne peut avoir que de bonnes surprises ensuite..."

"Dur L'A26 ? Ah oui, celui-là c'est de l'italien, du serré !"

"Dans Lune captive, j'ai mis mes personnages dans cet univers clos, presque carcéral et j'ai attendu...Ce qui devait arriver arriva..."

"Pour La théorie du panda, je suis parti d'une photo où on me voyait dans une gare devant un train à Lamballe. J'ai imaginé ce personnage. Est-ce qu'il partait, est-ce qu'il arrivait ? "

"La vie est tellement dure qu'il faut mieux se réfugier dans l'imaginaire et imaginer la vie comme un roman. Moi j'ai compris ça dès que j'ai su lire. Quand on me montrait la plage, le sable fin et le soleil sur les affiches, moi je voyais tout de suite les ordures derrière..."

(A noter que son copain Marcus Malte, aux thématiques à peine moins noires, acquiesçait à côté.... Pris en sandwich entre les deux, Jean-Marie Blas de Roblès...)

13:08 Écrit par Cathe | Lien permanent | Commentaires (21) | Tags : garnier pascal |  Imprimer |  del.icio.us |  Facebook |